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| Ligne 12 par sarenson

Ligne 12 par sarenson

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Ligne 12 par sarenson (posté le 11/11/2016 à 14:11)

Il arrive lorsque l'on prend le métro de tomber sur des personnes qui vous attirent l’œil.
Pas forcément pour leur physique, ou leurs vêtements, mais simplement à cause de leur posture ou leur comportement.
Aujourd'hui je me suis promené sur la ligne 12, celle qui passe par Pigalle haut lieu de Paris qui regroupe bon nombre de sex-shop.
Évidemment mes pensées étaient quelque peu orientées, mais voilà les histoires que j'ai « fantasmées » sur ces inconnus de la ligne 12.
plus en détail.
Sous ses petites lunettes de couleur sombre, pétillaient deux yeux d'un bleu profond, ses lèvres souriantes étaient un appel aux baisers les plus passionnés, mais ce sont ses mains qui retinrent encore plus mon attention. Elle avait des mains magnifiques, sans bijoux ostentatoires, même pas une alliance. Les doigts étaient longs et fins comme ceux d'une pianiste. Soudain je la vit prendre forme devant moi tel un fantôme. Elle était vêtue d'une robe de soirée noire au dos nu. Son décolleté ne laissait voir de sa poitrine menu que le commencement de la courbe du galbe de ses seins.

Elle s'installa au piano, un stenway noir comme l'ébène, et commença à jouer. Ses doigts filaient à une vitesse étonnante, ou au contraire allaient de haut en bas de façon plus lente.
Et ce n'était plus un clavier qu'elle avait sous la main, mais mon sexe turgescent. Elle allait et venait tout au long de ma bite, s'attardant de temps à autre faisant jouer son index sur le bout de mon gland. Elle attrapait mes couilles pour les engloutir dans sa bouche. Puis doucement remontait le long de ma hampe laissant une trainée humide de salive.
Elle me prit bien en bouche, et ses longs doigts commencèrent à me caresser l'anus, un doigt puis deux s'introduisirent pour me donner un plaisir incroyable.

Elle harmonisa le rythme qu'elle donnait à sa langue, à sa bouche, avec celui de ses doigts.
J'étais au bord de l'extase, prêt à exploser, elle le sentit, et en point d'honneur elle retira mon sexe de sa bouche et me fit venir sur son visage, recouvrant ses petites lunettes de toute ma semence.

Cela aurait put être ainsi, mais l'arrêt Solférino arriva, et je la vit dans son petit jean descendre de la rame.
Une autre fois peut-être... . »

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